Finovate à Londres en février 2011 l’ont bien compris.
De plus, ce mode de signature cohabitera sans complexe à côté ou en parallèle de la signature électronique (l’un n’excluant pas l’autre, voire se complète). Enfin, si signer avec mon doigt je trouve cela singulier, je peux toujours, m’appuyer sur un stylet compatible.
Si la signature manuscrite s'est probablement démocratisée avec la plume, nous signions alors nos documents au cachet et à la cire. A la fin du XXe siècle, la CB et le code PIN nous ont permis d'aller vers des usages plus numériques. Au début du XXIe siècle, la signature numérique prenait son essor.
Alors la signature manuscrite numérique, fait-elle penser à un retour en arrière ou bien préfigure-t-elle de l'adaptation des nouveaux moyens informatiques aux usages traditionnels ? Le débat reste ouvert.